De nos jours, de plus en plus de personnes envisagent de créer leur propre entreprise pour jouir d’une liberté professionnelle. Et c’est tant mieux.
Parmi elles, un nombre croissant adopte une stratégie intéressante : rechercher dans le créneau et la région qui les intéressent un commerce à remettre. Cette approche évite les difficultés inhérentes au démarrage d’une nouvelle activité. Cependant, trouver la bonne affaire et au bon prix n’est pas toujours chose facile.
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Malgré les investissements massifs des gouvernements européens dans l’aide à la création d’entreprise, une statistique persiste : les trois premières années après le lancement sont cruciales dans la vie d’une entreprise. C’est durant cette période que le taux de cessation d’activité demeure le plus élevé. Il suffit pour s’en convaincre de chercher sur Google commerce à remettre Bruxelles pour constater les chiffres de la capitale européenne.
Dans ce contexte, reprendre un fonds de commerce déjà établi, sain et solide, peut donc s’avérer un excellent choix. En capitalisant sur les bases existantes, le futur entrepreneur évite les difficultés initiales rencontrées lors du lancement d’une entreprise.
Le cédant a déjà éprouvé et validé son modèle économique, organisé son activité, et le repreneur dispose ainsi de données fiables pour évaluer la rentabilité réelle de l’entreprise. Reprendre une entreprise offre une perspective plus réaliste sur les résultats financiers à attendre, limitant ainsi les surprises courantes lors du lancement d’une nouvelle entreprise.
En d’autres termes, reprendre une entreprise peut être une excellente opportunité, à condition de choisir une affaire répondant à certains critères.
Comment être certain que le commerce à vendre (ou l’entreprise) constitue une bonne affaire ?
Il est essentiel de scanner l’intégralité de l’affaire en question. Cela implique non seulement d’analyser les bilans comptables des trois derniers exercices, mais également de prendre en compte tous les aspects de l’activité.
En effet, si les chiffres sont révélateurs, ils ne révèlent pas tout. La valeur réelle d’une affaire, et donc le retour sur investissement potentiel, dépend de nombreux facteurs tels que l’actif immatériel et matériel, le goodwill, le potentiel de croissance, les éventuelles faiblesses du business, etc.
Analyser toutes ces données, dont certaines sont très concrètes et d’autres beaucoup plus subtiles, demande du temps et une expertise certaine. Chez Argus Entreprises, c’est notre métier – et notre passion – depuis plus de 35 ans. Pour en savoir plus, contactez-nous dès aujourd’hui.
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